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L'esprit de la poésie, vie d'une Lullaby ...
20 septembre 2009

La Fiction de L'imaginaire. Chapitre V. Présence.

C'est ainsi que je me dirige vers la porte principale du lycée, je sors par l'entrée, la grille est fermée, cela n'a rien d'anormal, je l'escalade donc, prend garde aux pointes, et saute de l'autre côté, avec une étrange impression, mais je commence à marcher sur le trottoir, et emprunte la route par laquelle je suis arrivé ce matin.
J'habite à une dizaine de minutes de marche du lycée, et car il fait froid et que je ne compte pas m'éterniser ici, je reviens chez moi en courant.
Je fais ce trajet en trois quatre minutes, c'est un vrai plaisir de courir librement je trouve, choisir son rythme, voir le monde défiler autour de soi, et j'aime encore plus courir dans une foule en devant éviter les gens.
Une fois arrivé chez moi, j'ouvre la porte avec mes clés, mes parents ont l'habitude que je rentre un peu plus tard que prévu mais généralement je n'ai pas autant de retard, je regarde l'horloge il est sept heures et demi.
Ils me demandent pourquoi j'ai autant de retard, je leur explique donc que je me suis battu et que j'ai été à l'infirmerie ou j'ai dormi.
Le dîner n'est pas encore prêt, je monte donc dans ma chambre, et m'allonge cinq minutes, mais remarque que j'ai oublié mon sac au lycée, j'ai le temps d'y retourner, on mange dans une demi heure.
Sur le chemin de l'aller au lycée, pendant que je cours j'ai la désagréable impression d'être observé, alors qu'il n'y a personne autour de moi, et soudain j'entends un bruit, comme un battement d'ailes, mais de très grandes ailes, je m'arrête donc et me retourne, regarde tout autour de moi, mais ne vois rien ... Je continue à courir quand je réalise qu'il y avait quelque chose d'anormal, je me retourne donc, mais ne vois rien sur le poteau électrique, contrairement à ce qu'il m'avait semblé ...
J'atteins donc le lycée en courant, escalade de nouveau la grille, évite les piques, mais n'arrive pas à passer par delà les piques, à chaque fois je manque de perdre l'équilibre, et décide donc de redescendre, on appellera quelqu'un, je dois être fatigué et n'arrive pas à passer cette grille.
Je regarde donc à la loge s'il y a quelqu'un, et tape au carreau, le gardien, un homme étrange avec un chapeau haut de forme, me salut et me demande ce qu'il peut faire pour moi, je lui explique que j'ai oublié mon sac, et il me laisse donc rentrer.
Une fois dans le lycée je retrouve l'infirmerie et récupère mon sac, Beyla dort encore, je vais éviter de la réveiller.
Au moment de passer la porte pour sortir de l'infirmerie, je vois une silhouette courir extrêmement rapidement dans le noir, je tache de la suivre, elle se dirige vers la porte principale...


Je suis réellement certain d'avoir perdu tout mon public, et je tiens à m'excuser, la forme que prend la fiction ne me plait pas, et je n'ai réellement plus le temps d'écrire, pourtant j'aimerai continuer cette fiction ...

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L'esprit de la poésie, vie d'une Lullaby ...
  • Un abime de poésie où viennent se mêler tous les sentiments. Un lieu où toutes les histoires commencées trouveront une fin. Un endroit où je dirais ce que j'ai envie de raconter. N'hésitez pas à voir mes créations : Lullabycreation.canalblog.com
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